Péripéties de la vie d'Élizabeth Black
Avertissement: le
devoir de chacun est de prévoir - les intentions de l'homme sont des projets et
des fuites.
N'a jamais connu Katmandou ville où elle est née un
samedi de juin 1955.
Le père d'Élizabeth Black était professeur à l'université
de Katmandou; Amanda Grayson fut, dans leur enfance, la meilleure amie d'Élizabeth
Black.
Physique: des traits assez durs. Un front soucieux, des
cheveux en bataille, un front bas aux bosses modelées; une profonde déception
dans le regard, nez bulbeux; un sourire paisible..
Sentiments: l'estime d'Octaviano Valdés lui importe
infiniment, la personne qu'Elizabeth Black admire le plus est Luigi Boccherini.
Amours: survit à ses sentiments comme elle survit aux
saisons… a passé des instants inoubliables avec Joseph Conrad.
Goûts: se sacrifierait pour les coquillages, Élizabeth
Black discute sans fin de “Justine” de Sade avec Mary Smith… rêve d'écouter Luigi
Boccherini dans le cadre du détroit de Béring… aime par dessus tout la peinture
et particulièrement “La vierge du chancelier Rollin” de Jan van Eyck.
Rêves: c'est dans le détroit de Béring qu'Élizabeth Black se
sent le mieux.
Haines: déteste les ifs.
Métier: n'aime pas sa réputation de grande bergère des âmes.
Généralités: Élizabeth Black assomme tout le monde de ses
conseils, est membre d'un club de crakers… est toujours très occupée bien
qu'elle n'ait rien à faire - Élizabeth Black se consacre surtout à
l'enseignement.
Pensée: "il est impossible d'être à jamais en
dehors" et "l'essentiel n'est pas de savoir si on a tort ou raison ça
n'a pas réellement d'importance" sont ses sentences préférées.