Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Écrits de Marc Hodges
Écrits de Marc Hodges
Visiteurs
Depuis la création 98 775
Archives
13 février 2009

Souvenir érotique

Je vous sens pressés, insatisfaits aussi, vous attendez de moi quelque chose de plus épicé, plus direct et je vous parle trop d’états d’âme. Je vais au rythme incohérent des souvenirs, non à celui de vos attentes. Pourtant, dans ce blog centré sur le désir, je ne peux qu’essayer de vous satisfaire…

J’avais autour de vingt ans quand, dans un bal populaire, j’ai rencontré à Pétronelle (en Autriche) cette jeune femme blonde dont je n’ai jamais sur le nom. Nous avons fait connaissance, flirté en un temps record puis, sous le prétexte dont nous n’étions dupes ni l’un ni l’autre, elle m’avait entraîné chez elle prenant soin de préciser que son mari était en voyage jusqu’au lendemain. Et c’est ainsi…

Bite dure comme de l'acier, je bandais continûment, voyais mes poils très noirs au-dessus de ma pine. Elle ne voulait rien d'autre que du sexe et c'est tout ce que je voulais d’elle - je continuais à bouger sur le même rythme amoureux; elle se voulait toute ouverte, me pétrissait en haut des cuisses et aux hanches, s'offrait toute entière, dévorait cette verge, cette barre de chair qui la faisait jouir. Elle avait envie qu’un homme glisse ses membres entre ses cuisses; son sexe était plein de l’appel de celui de l'homme comme si elle était pénétrée par des dizaines de tentacules, comme si son corps était parasité par un corps autre, plus voluptueux.

Je mordillais ses cuisses, elle m'aspirait consciencieusement car je lui donnais ce bonheur du corps qu'elle préfèrait à tous. Elle ne résistait pas, son esprit galopait fiévreusement tandis que je respirais le parfum excitant de sa peau, me pénètrais de son odeur de femme, elle fermait les yeux pour mieux me sentir, frissonnait de désir et de joie, sentait l'homme qui la remplissait profondément. Je vidais tout mon être en elle tout en cherchant à ménager mes forces pour durer car sa chatte ouverte appelait ma tige d'acier comme un aimant…

Elle aimait le poids de mon corps sur le sien... Un homme aux muscles d'acier. Elle me lapait, me butinait, me dévorait, me léchait, m'enfermait dans la prison de ses jambes... Mon érection dura toute la nuit. Elle ne résista pas... Je dansais en elle, la surface entière de sa peau était une pile électrique… Je mêlais mes gémissements aux siens, elle me pétrissait le haut des cuisses, les hanches... Elle ne rêvait pas d'amour seulement de désir; je lui mordillais les seins - elle avait les seins qui tombent - elle se renversa, je l'épuisai, elle prit son plaisir... sentit l'homme qui la pénétrait, toucha son ventre, son sexe, et il était plein... Sa langue était toute entière dans ma bouche, elle recherchait une certaine violence... Je la tenais ferme : "Nunca he venida tan fuerte...", embrassais goulûment ses seins.

Elle me sentait dans son sexe... s'emplissait de mon odeur de mâle, se voulait toute ouverte, tendue, attentive... La nuit sembla ne jamais finir et le jour nous surprit comme un mari jaloux.

Publicité
Commentaires
Publicité
Derniers commentaires
Publicité