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Écrits de Marc Hodges
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24 septembre 2014

le désir nous écartelait

le soleil était superbe (aspiration
de la chair) la journée foutait le camp comme mon foutre le désir
nous écartelait je me souvenais de l'homme
qui t'accompagnait cingler à vers
et à sang je me roulais dans la prairie
nous nous vautrions dans
les odeurs consommateurs insatiables
de chair petit bunker
du c… (elle portait un masque) topologie amoureuse
infimes joies membre si finement ggainé dégainé (j'avais
essayé de voir)
goût acide des chairs humides elle
était dans l'obscurité vulve sans cerveau
Incestes du désir nous fouillions dans l'entrejambes
musique des odeurs j'étais resté
longtemps hors
de sa bouche blancheur
des draps tout paraissait simple et facile je baisais
le ciel la volupté était une question sans réponse on prenait
le grand large du désir cela ne faisait qu'embrouiller les
choses quando la mani accarezzano e premano
ai confini del corpo
main dans le slip corps amoureux (nyctalope)
(bite-taureau lachée dans la reine)
nous aimions suivre le ciel soyeux si pur
la masse des rochers disparaissait vers la mer
dilatation de l'identité (la
rosée du sperme et de la sueur rafraîchissait
les draps) nous fermions les yeux pour mieux voir il y avait
autre chose chatte trempée
la robe était nue blancheur douteuse
des draps dureté des étreintes
legs legs way je la
prenais en bouche
nos corps s'ouvraient de toutes
parts elle suçait fleur rouge
de la moule infimes soupirs bites regard navré
ma verge rivalisait de variations nos yeux
jouissaient (entrebaillement
des lèvres) potlach des
corps désir-cyclone son corps était un jardin sans ombre
l'affirmation n'avait pas sa place le coït carnavalier
araignée sur le c… le désir nous
écartelait aventure
sentimentale libre
échange des sensations arc et flèche rosse labbra
nous étions du gibier
le ciel tout entier
nous entourait elle portait une robe couverte
de tulipes
paysage parallèle vis visages
d'emprunt explorations sans
limites l'amour
la mort s'échangeaient comme la flamme et
le lieu la jouissance consumait le temps toutes
les bouches étaient
ouvertes elle manipulait nos fantasmes saveur
de pomme vec le con comme message pour achever son pleasure
elle avait pour stratégie de ne rien
laisser paraître provocation de l'âme la jouissance
était un abîme

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