22 mars 2008
Un poème de Wilfrid d'Eurymédon
Wilfrid et La Beude sont, au fond, aussi conformistes l’une que l’autre. Du fond de sa caravane miteuse, délabrée, rongée de rouille, noircie de moisissures, Wilfrid regarde passer, le peu qu’il aperçoit par dessus le mur du camping, les bus de la ville...