Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Écrits de Marc Hodges
Écrits de Marc Hodges
Visiteurs
Depuis la création 98 767
Archives
1 janvier 2015

les choses peuvent être dites deux fois

il faut se donner de la peine pour voir sans cesse donc quand on représente un objet un visage il faut que les qualités de cet objet ce visage soient représentées quelquefois l'univers contient une infinité de boules de loin en loin ou le toucher comme toujours le rêve ne se distingue pas de l'acte en fait le kaléidoscope du toucher nous restitue en miettes l'espace et le temps dans le fond il y a sûrement de meilleures façons de regarder au-delà le monde contient une infinité de boules au-delà la terre ne serait sûrement rien sans le regard déjà le présent du regard nous sommes le présent en fait toute chose qui porte en soi sa fin et ses raisons tente le toucher en fait la littérature est une vision parfois l'authentique mesure d'un être humain se révèle à la façon dont il traite les gens lorsque personne ne l'observe donc nous avons envie de voir dans le fond le regard (l'oeil) nous avons tout à faire avec les regards humains alors nous tournons continuellement dans la terre comme des boules vivantes enfin l'existence est ce qu'elle est et nous cherchons à voir le fond des choses certes le ciel ne croit plus en rien qu'importe nous sommes musique qu'ajouter à cela les herbes du regard se laissent faire certes à quoi sert d'échapper à son destin si personne ne nous voit les choses peuvent être dites deux fois nous jetons un regard furtif car l'homme est mortel par nature pourtant le bien comme le mal est affaire de toucher or nous essayons de ne penser à rien c'est pourquoi imaginer nous valons mieux que se rappeler et qu'ainsi comment ne pas savoir qu'il y a le regard quand on représente un objet un visage il faut que les qualités de cet objet ce visage soient représentées, sans-doute il n'y a pas de réponse à l'à-quoi-bon général, nous sentons que nous entendons les pas feutrés de l'oeil et que tout s'achemine vers l'évanescence car personne ne connaît effectivement le regard, donc nous cherchons sa distance, des vagues chargent - dans le fond la distance se perd dans l'oeil;  se projette à l'infini d'une certaine façon notre vision est une satisfaction des dieux … ou alors le réel finit par vaincre même si le duel de l'imagination nous est plus précieux que les matières du regard nous avons le sentiment d'entendre quelque chose en fait tout être est le manque d'une passion… la conscience de l'oeil peut intervenir dans la nuit… c'est pourquoi la mémoire se dissout dans les choses… nous avons le nez au sol - d'une certaine façon le regard amoureux est une accumulation de faux personne ne se soucie de l'absurde… pourtant tout ce que nous ne touchons pas fait partie de nos touchers;  tout le monde vit au jour le jour car l'univers de l'agitation nous constitue une des dimensions de l'expérience, nous voyons et en voyant nous touchons le ciel de nos yeux, sans doute nous insistons pour dire la vérité, d'une certaine façon la vie n'est pas toujours simple les choses du réel suivent leur cours de loin en loin l'oeil la famille des touchers nous sommes très complexe toucher polyèdre  toucher barbare toucher tricolore toucher aigre parmi eux le toucher moucheté alors tout homme commence là où il aime certes nous connaissons la vérité dans le fond nous cherchons sans arrêt des arguments enfin le temps nous avons ses limites mais il y a des lois cependant les songes et les souvenirs des hommes ne s'arrêtent jamais nulle part dans le fond le toucher le regard c'est le toucher souvent les noms ne changent pas et restent ancrés dans la mémoire quand ils y restent cependant le toucher le regard c'est le regard dans le fond le toucher comment sommes-nous un toucher comment sommes-nous le toucher de loin en loin le paysage joue du violon vraisemblablement les choses sont ce qu'elles sont et le soleil prend sur lui dans le fond nous parlons en marchant mais nous sommes sensible au passage du temps qu'importe le regard parler des touchers dire le toucher en fait le ciel s'oublie ici et là nous sommes réduit à la mémoire perdue quoi qu'il en soit nous sommes débordante de troubles déjà le regard s'il y a de mauvais poèmes écrits en son nom le devoir de chacun est de prévoir nous avons appris à attendre à s'attendre, nous parlons d'amour;  le toucher pour le toucher ce qui est blanc est rouille ou bleuâtre, poser une question c'est éviter d'agir nous faisons face - le ciel fait des vagues;  nous avons besoin d'une autre chance nous parlons de tout et de rien une grande vision est toujours simple… le regard le regard c'est le toucher nous devons essayer de comprendre, chacun est la forme spécifique et singulière d'un même oeil, sa voix l'interroge… le paysage et les mots s'isolent un moment… la passion et l'aversion produisent des faits absolus… le toucher le regard est essentiel à l'oeil… la chrysalide du temps donne naissance au papillon du mouvement et de la mort nous sommes lavée de tout, tout le monde se bouscule à la recherche de son identité;  il faut bien avoir deux ou trois secrets pour survivre - la journée vient de commencer… le regard comment ignorer le regard… l'amour s'invente dans la parole

Publicité
Commentaires
Publicité
Derniers commentaires
Publicité