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Écrits de Marc Hodges
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20 août 2009

Un don de sexe

J'ouvris donc les yeux.

Nue sur mon lit, une magnifique jeune femme noire, souriante de toutes ses dents blanches, offrait toute les luisances de son corps. "mon cadeau" dit la petite putain…

je me jetai sur le lit elle se mit à mordiller mes cuisses puis m'aspira consciencieusement et mon sang se mit à danser je touchai son ventre il était plat dur et souple à la fois il y avait sur nous une odeur de gibier mon esprit galopait fièvreusement tandis que je respirai le parfum excitant de sa peau ses muscles indomptables donnaient à ses mouvements une force qui éveillait le désir le plus fou je transpirai beaucoup ne rêvai qu'à mon membre dur qui bougeait en elle provoquait elle-même sa propre jouissance s’agitait frissonnait de désir me griffait me mordait j’avais envie de ça de toute cette chair m’épuisait montrait son cul avec un air passionné la sensualité écrasait nos corps les noyait dans l'extase au-delà de toute morale me caressa l'intérieur des cuisses je bandai sans fin mon coeur battait avec une telle violence que je pouvais à peine respirer je ne voulais rien que du sexe ne rêvai pas d'amour seulement de désir de nouveaux frissons s'éveillèrent en moi me pétrit en haut des cuisses j’aimai les sensations que me procurait cette machine chaude qui battait mon corps nous avons baisé frénétiquement je m'emplissai de son odeur lui léchai l'intérieur des cuisses c'était comme si était pénétrée par des dizaines de tentacules comme si son corps était parasité par un corps autre plus voluptueux je m'échauffai elle avec moi d'un vocabulaire brûlant et ignoble m'abandonnai au désir à la volupté s'offrait toute entière je continuai à bouger sur le même rythme nouai mes jambes autour de sa taille jouit se voulait toute ouverte je ne voulais rien d'autre que du sexe me sentais vivre dans son ventre du fond de son être montait une fièvre sauvage mon sexe battait à coups irréguliers ses muscles solides donnaient à ses mouvements une force qui éveillait le désir le plus fou je la pénétrai encore et encore bandai continuement j’étais halluciné nous étions en sueur dans la chaleur collante de cette nuit d'août odeur de gibier mon désir ne mourut pas avec l'orgasme

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