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Écrits de Marc Hodges
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23 mars 2014

comme tout le monde je veux être aimé

Quimper encore où, avant de partir pour Audierne prendre l’Enez Sun pour l’île de Sein, j’ai rencontré ce vieux truand de Fernand Ferrandine, toujours aussi roux et moustachu, toujours aussi rond et hâbleur. Je vous en parlerai peut-être aussi un de ces jours mais, pour l’instant, ce n’est pas lieu…

Certains de vous, mes rares lecteurs, attendaient en effet tout autre chose de ce mail-roman comme s’il s’agissait de se placer sur le terrain que vous aviez vous-même inventé ! Stanislas est Stanislas et je suis celui que je suis, il n’est pas question d’imaginer une autre histoire, d’imaginer même une histoire. Pourtant, je suis lâche, comme tout le monde je veux être aimé aussi, pour une fois je vous donne ce que vous aimeriez…
 
Je dédie cette lettre à Michèle Mierzwiak :
 
« La surface entière de sa peau est une pile électrique... Zita n'en a jamais fini avec l'amour — elle aime le poids d’un corps sur le sien ; ses cuisses s'entrouvrent - Stanislas bande sans arrêt son membre est dur comme de l'acier !Zita devient échevelée ! Stanislas lui caresse l'intérieur des cuisses. Zita commence à jouir à la minute même où Stanislas la touche. Elle s'ouvre autant que possible, elle sent la montée de son désir à celle de l'humidité entre ses cuisses, son sexe s'ouvre… Elle a besoin de cette sensualité perçante qui peut être horrible ! Stanislas la broie, sa pine glisse entre ses jambes, il danse en elle... Zita sent son sexe se mouiller ! Stanislas embrasse goulûment ses seins; il caresse la pente soyeuse de ses reins; mordille ses cuisses… Elle est si mouillée que Stanislas en perd la tête; elle est pleine de son odeur forte d'homme : Stanislas noue ses jambes autour de sa taille, caresse encore la pente souple de ses reins, plus bas, plus bas encore ; elle est sexe et bouche. Zita recherche les caresses de l'homme qui la fait crier ! Stanislas se pénètre de l'odeur de la femme ; son sexe bat à coups irréguliers comme une artère ; elle sent l’invasion de son désir à celle de l'humidité entre ses cuisses. Zita s'arque, Zita ne rêve jamais d'amour seulement de désir : rêve de la chaude odeur de sa chevelure, son corps est un dédale d'émotions et de réponses où Stanislas s'égare. Il la broie, sa verge glisse entre ses jambes... Il y a sur eux une odeur de gibier ! Dans son sommeil Zita rêve à son amant, elle a conscience de son désir de l'homme, n'importe quelle bouche, n'importe quel sexe, Stanislas ou un autre... Les caresses la rendent de plus en plus ivre, elle crie... elle sent les dents de l'homme qui se resserrent sur son coup... Elle jouit »
 
Zita et Stanislas ont fait l’amour bien sûr, souvent, certainement bien… Je ne mens donc pas. Pourtant je ne crois pas que, dans ce récit, ce soit ce qui importe…
 

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