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Écrits de Marc Hodges
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22 mars 2012

Fukushima (fragment 1)

(Fukushima est un travail en cours. Les textes produits le sont par un générateur automatique.)

"Les radiations craquent. Tout gamin défend ses propres secrets ou du moins il le croit, le râle s'agite… tout être est l'absence d'un amour. La menace s'accepte dans le regard, enfant aux traits accusés : ombre, les nuages sont striés de rouge-sang, les plaintes éliminent la passion. L'atome s'asphyxie;  le ciel régente l'espace de sa voûte de plomb, l'océan est un bordel - les spectres chutent;  la vague est désespérance - les radiations se cherchent… la croyance entretient quelques relations amoureuses avec quelques groupies, phobies;  quand le jour va poindre - il n'y a pas plus gris que le gris de ce ciel - insolence, le ciel s'impose… l'existence s'agrandit… les corps exterminent le ciel… du soleil coupé au ras des toits jaillit comme un torrent rouge;  l'air est osseux… la vague se brouille dans le sang;  l'existence est faite de hasards… tandis le ciel est un brouhaha de nuages. L'admiration guette le sang, l'océan est bouche, le mal s'absente, l'homme s'accepte dans le regard, enfant à la peau de couleur saine : revenant;  haut-le-cœur - la force crève - l'air est couteau, l'oeil s'angoisse sur lui-même - excitation, l'espace est grognement, la grande lame de l'éclair tranche l'épaisseur de l'ombre - les lieux communs reprennent force - l'oeil est gémissement, le temps s'assassine dans le foisonnement… un jour de vent coupant comme l'acier, l'oeil s'amasse sur lui-même;  la vague est brouillonne;  les revenants se débattent. La vague se sent un peu infidèle - la résistance démembre la magnificence… l'atmosphère est rancœur - l'océan s'attriste sur lui-même. Il arrive à vague de ne plus très bien savoir où elle en est, le ciel est bavard. Enfant à la peau laiteuse : apparition, la rancune est peu à peu passée à un idéal de solitude, nuages, le temps a devant les photos des pressentiments variés - nuits. Les rayonnements meurent… la résistance accepte la résistance;  l'océan s'amasse sur lui-même, alors qu'une pure luminosité inonde la ville, grand ciel rouge. Crépuscule bleu, tombée de nuit, ciel  noir profond - les sons foudroient la vague - les idées qui changent la face du monde viennent sur des pas de bergeronnettes… tous les faits n'ont pas le même poids. L'amour c'est comme ça, exterminations. Les reflets détruisent la nuit, l'univers est un tumulte. L'absurdité se casse dans l'authenticité. Pas de différence fondamentale entre mémoire et réalité - l'impertinence s'agite dans la splendeur - enfant visage aux sensations douteuses : revenant;  journée printanière. Le crépuscule va - acte, homme. C'est dans le silence entre les mots que se tient la vérité, incidents, l'univers s'attriste sur lui-même, les atomes se contredisent, les radiations se brisent, la noyade noie la lumière - dans un petit jour maussade et froid - le cormoran croit que tout s'apprend, on ne peut jamais rien comprendre à rien. Démences, le savoir ne se distingue pas de l'irréel, la religion accepte, femme au teint pâle et velouté : ombre… les atomes crachent;  le désespoir s'active… les atomes se contractent, l'extermination se cherche, ciel;  les sons chutent, l'univers s'attriste sur lui-même… la grande lame de l'éclair tranche l'épaisseur de l'obscurité, l'espace est boutonneux - l'enfant accepte."

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