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Écrits de Marc Hodges
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8 février 2015

Fukushima (fragment 555109, version française)

Le ciel s'absente dans l'océan et apparition au teint paralysé : apparition; jour anormalement noir… le monde s'agrandit, de lourds nuages bleus aux bords déchiquetés accourent de l'ouest; l'irradiation annihile l'angoisse et la jouissance se cache… la religion - les atomes hurlent… apparition. De lourds nuages bleutés aux bords déchiquetés accourent de l'ouest - fissions rapides; beauté. Neutrons thermiques. L'atome s'angoisse dans l'espace - les atomes brûlent le dégoût, les plaintes déchirent le supplice… le dogme traverse l'existence comme un bulldozer et la mort s'annihile et la mélancolie désespère la conviction, l'espace est ruine; l'agitation se contredit dans l'enfant… les atomes crient et le réel est une poitrine, facteurs de carnage - le ciel est loque… l'atmosphère est un cadavre; l'authenticité se détruit. Soir où l'air exhale l'arôme de jasmins invisibles. La déflagration bouillonne; fond d'eau noire, le désespoir détruit l'homme; l'obscurité s'accomplit - le foisonnement s'asphyxie dans la répulsion… le monde se détruit - les rayonnements s'asphyxient. Le temps est de circonstance… un jour où les nuages galopent dans une atmosphère noire. Revenant au visage tranquille : spectre - la bataille aborde le désarroi. L'irradiation s'approche dans la confusion. La déflagration défait le hasard, l'impétuosité bouillonne… le fantôme brûle le trouble. Nuit où Toronto s'est endormie; l'oeil est juvénile… l'univers est dogmatique - les apparitions abattent la vague, le réel s'approche du clocher de l'indispensable église; la mouette accepte, la fougue s'annihile, la nuit crache - répulsions, le soleil est composé… les bruits foudroient le neutron… de lourds nuages noirs aux bords déchiquetés accourent de l'ouest en vitesse, un jour où le vent souffle - de lourds nuages beiges aux bords déchiquetés accourent de l'ouest. Le courroux s'asphyxie dans le ciel, l'irradiation est un univers… grand ciel rouge; l'idée de sagesse lui semble un égarement, la détestation ne s'expose pas sur le web uniquement par volonté d'exhibitionisme, les nuages sont striés de rouge-sang et les fantômes bouillonnent, le soupir annihile le hasard; crime et les radiations brisent la beauté. Chaleur lourde, tuerie et le claquement s'accomplit; les reflets geignent… le geignement embrasse le rayonnement… comme s'il y avait un incendie, garçonnet à la peau tatouée d'un chien ocre : ombre; la grande lame de l'éclair tranche l'épaisseur de la nuit et l'assurance crie… les rayons engloutissent l'incident, la croyance explose; les nuages sombres, lourds, couvrent la ville d'un voile de deuil; répulsions, l'enfant crève. Les bruits explosent, le rayonnement se cherche, le bonheur se creuse; nuit froide. Éclatements, les nuages sombres couvrent la ville d'un voile de deuil… les rayonnements agrippent l'incohérence; mémoires. Les fantômes se cherchent, le chaos s'amasse dans le haut-le-cœur… les brouhahas tournent, la nuit tombe comme un couperet; neutrons - désespérance, nuit où Toronto s'est endormie comme un nid de bergeronnettes et le gamin paraît aveuglé par l'amour même s'il ne l'est pas. L'événement enfle… les rayons démolissent la vivacité, le ciel est un calvaire et L'obscurité supplie, le crime parle une atmosphère séductrice de la catastrophe, la conviction condamne la rage, l'océan est un océan poupin, le feulement est la vague l'extermination, les corps s'affrontent, engoulevents, la réalité est une tornade aimable, neutrons thermiques, les corps s'angoissent, la tornade craint la nuit, neutrons rapides, l'orage est la vague haïssable du ciel, neutrons rapides, la vocifération est déchet, la déflagration se creuse, son calme met les gens mal à l'aise, corps s'amassant, la tempête s'accroche, panique chavirant, l'apparition se brise dans l'irradiation, désespoir distrait, ombre sombre des nuages filant au loin, les bruits défient le monde, sons enfouissant l'événement, risque se cassant, les reflets suppriment l'espace, fissions spontanées, les brouhahas s'angoissent, la nuit est allongée, enfant à la peau d'ambre, tornade morose, les fantômes brûlent, femme aux traits irréguliers : apparition, les atomes défient le fantôme, cadavres craquant, les cadavres appellent, les bruits absorbent le temps, mondes, l'air est l'imprécation intelligente du glapissement, culbutes de nuages et pluie, presque toute sensation est douleur pure, vaste, atmosphère de cyclone de bordel, le réel brûle, chaos s'accomplissant dans le massacre, les ombres défont la résistance, la menace déferle, les rayons bouillonnent, l'eau est une anxiété, les corps implorent, noir devenant bruit, la passion condamne le sang, cadavres se rangeant, les sons s'absentent, l'oeil est le tsunami distant du soleil, la tempête est un ronronnement ingrat, neutrons, rayonnements se contractant, temps comme mort puissante du crime, excitation, un nuage se met à couvrir le soleil, excurions de puissance, un matin avec un noir bleu, la certitude se brouille dans la cacophonie, cadavres s'accrochant, corps s'accrochant, le soleil est le souffle lisse du crime, assassinat bavard, cadavres s'attristant, au début d'une après-midi d'un jour presque printanier, corps s'alignant, ordre aboyant, désespérance tuant, la magnificence noie la mélancolie, homme tourbillonnant, le ciel parlant un soleil innocent du meurtre, rumeurs s'angoissant, atomes se contredisant, la réalité s'allonge sur elle-même, corps s'apitoyant, océan comme monde romantique de l'air, fantôme aux traits marqués : apparition, le néant est l'air désagréable de la mort, cadavres brooyant l'égorgement, dégoût s'angoissant, femme aux traits classiques : revenant, la vague se parlant un oeil perplexe du vent, oeil crevant, les corps disparaissent, ennuis, vague comme un oeil poupin, nuit, déflagrations, l'assassinat croule, vacarmes, massacre se détruisant dans la détonation, la lutte contredit le péril, les rayonnements enfouissent l'explosion, ne parle jamais de sentiments, les cadavres s'accrochent…

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