Saison quatre, épisode dix-huit : existence et aventures d’un lecteur
(intro) rien n'est simple de ce qui fait son existence
(déteste) Le lecteur a de nombreux ennemis: John Smith,
Esteban Puig et Edward Black
(tourisme) à Vernon, un matin d'avril 1994, a écopé d'une
amende pour stationnement interdit
(tableau) jusqu’au jour où Le lecteur voit le
portrait d'Emily Gilden par Ben
Greenough, il ignore ce que peut être la peinture
(intro) les existences vont comme elles vont… on n'y peut
pas grande chose
(psycho-1) Le lecteur passe sa vie à attendre ; le
temps n'y fait rien du tout
(psycho-6) Le lecteur se délecte des romans noirs de
préférence sanglants
(musique) Le lecteur rêve d'écouter Scotty Valens dans le
cadre de la ville de Fez et son souk
(psycho-8) à l'heure où toute campagne refuse de se
laisser aller au drame, par une nuit où Anderson Mill s'est endormie, alors que
la distance n'existe plus, le lecteur se promène à pied dans Saint-Aignan-le-Jaillard
(astro) soleil dans la balance
(passion) est un original, ne mange que du chocolat ou
des cannelles
(travail) n'a pas toujours été enquêteur
(enfance) le lecteur n'a pas eu une enfance authentique
(psycho-3) a une authentique nostalgie de son enfance et
de sa parfaite absence de problèmes