28 décembre 2007
D'Ulf Fischer à Émilie Gilden
Je vous ai suivie aujourd'hui dans la ville, Émilie, et je me demande quelquefois si j'aurai le courage de passer à l'acte car j'ai aimé bien des fois… je tremble quand je lis ou que j'entends votre nom… je désespère de ne jamais pouvoir être aimé de...