15 mai 2010
Vallongue, 15 heures 49
De loin en loin, un bout de pré cerne une lavogne desséchée. L'espace paraît soudain sensible, clair et liquide, comme une chose que l'on pourrait absorber, boire. André Pagès rêve que l'acuité sensible des jours est une bénédiction, il a besoin de compagnons...