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Écrits de Marc Hodges
Écrits de Marc Hodges
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elisee espardelle
25 juin 2016

son corps est un champ électrique

Ecoute, mon double, pleurer n'est pas facile. écoutez, je…. Écrire un récit n'est qu'un jeu: il n'y a pas de bonnes réponses. écrit dans un style confus, malade, presque pervers, il tente de se justifier: personne peut vraiment comprendre. écrit le baron...
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19 décembre 2013

quand le moment sera venu

«J’aime la sonorité ample des noms arabes, dit Stanislas, Abu Al-Walid Ahmed Ibn Abdallah Ibn Ahmed Ghâlib Ibn Zaydûn comme j’aime leur poésie : «Je ne sentirai pas l’exil des jours si tu es ma compagne ; si tu es mon soleil, mes journées fuiront les...
15 décembre 2013

comme le temps passe

Comme le temps passe, Zita et Stanislas se heurtent aux murs de leur prison doré comme des oiseaux exotiques ; ils ne peuvent plus imaginer vivre l’un sans l’autre : «Ta place dans mon cœur est tout mon cœur, nulle place pour une autre créature à ta place,...
13 décembre 2013

écrasés par le poids du destin

Laissez-moi imaginer les derniers jours de Zita et Stanislas dans leur jardin d’Andijan clos par le blanc de la neige et le satin gros bleu du ciel : une miniature moghole… Stanislas cite, peut-être en le déformant un peu, le poète turc Yunus Emre : «Ton...
10 décembre 2013

approche de la séparation

Au fur et à mesure que le temps passait, Zita et Stanislas vivaient avec de plus en plus d’angoisse l’approche de leur séparation. Après avoir vécu ensemble tant de moments de plaisir intense, il leur était impossible d’accepter que ce soit fini, qu’ils...
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7 décembre 2013

l’essentiel est d’être ensemble

Le temps passait… Il ne leur restait plus que deux jours à passer ensemble : «Comme j’allais obtenir l’objet de mes vœux, le destin m’a séparé de ma gracieuse aimée ; comme je cueillais la rose rouge sur la joue rouge, le destin m’a séparé de ma gracieuse...
2 décembre 2013

Cœur fou, c’est d’elle encore qu’il s’agit

«Cœur fou, c’est d’elle encore qu’il s’agit, pour elle, je quitte mon pays… Mon cadeau, un oiseau paré : la belle aux paupières maquillées descend et s’en va…», j’aimais alors lui citer ces vers du troubadour nomade Karadja-Oghlan et j’étais prêt à la...
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