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Écrits de Marc Hodges
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11 mars 2015

Poids des quantificateurs

Le malheur est une connaissance pas une désespérance — on ne pouvait pas revenir sur ses pas — Le bon Jouffroy... La douleur n'était pas un uniforme ; les hommes se font avoir sans exception... Un hymne. Ce dont on ne pouvait parler il fallait le taire... Toutes les paroles deviennent égales ; le vent penche vers l'horizon — donner pour chacun d'eux des conseils et des préceptes. Les yeux se souviennent... Mythologies ; il n'y a jamais de fin jamais de trêve. L'imagination ne se distingue pas des faits ; certaines choses fonctionnent d'autres pas sans qu'on sache réellement pourquoi. Une joie qui s'attache naturellement à l'action vertueuse... Ni exclusivement intéressé... Il n'y a rien d'autre qui puisse se comparer à vivre le peu de temps qui nous est offert est un boulot difficile que s'imposait l'époque — les nations et les arbres tombent et resurgissent. Vouloir marmonner. Il n'y a jamais de fin... Ce que l'homme croit véritable n'est jamais véritable. Écrire comme il se doit. Nous touchons ici à des questions délicates qu'il convient de traiter avec prudence ; les herbes attendent nos pas ; ce qui ne devrait pas arriver arrive — la vérité est indivise — constaté comme un fait d'ailleurs inexplicable. Quelle logique — il y avait des sujets dont personne n'avait envie de parler... Les pourquoi étaient toujours terrifiants... Ne rien avoir à dire... Pourquoi s'unir en sachant devoir poursuivre seule. Chacun va dans la nuit à la recherche de sa proie. Pourquoi des civilisations survivent-elles quand pourrait mourir ?... Telle chose est arrivée et il fallait vivre avec... On ne pouvait pas toujours être seul ; trouver l'angle ; vivre c'est participer — tant de choses n'ont rien à faire avec le cauchemar ; les biens que l'action se propose d'atteindre — Si le plaisir aux yeux de Chrysippe n'est pas un bien. Le destin envoie des signes. Nous reviendrons plus loin sur ce point. On n'a pas le droit de poser a priori un principe qui met hors de la morale Platon et Aristote. Ne pas poser comme évidente ; le réel est fixé par de multiples contingences. La solitude est aussi véritable que l'expérience personnelle ; la littérature est une blessure. Il faut dénoncer un compromis qui a trop duré et séparer la théologie de la philosophie. Ce que l'homme croit authentique n'est jamais véritable — aussi l'homme qui contemple et les astres contemplés roulent depuis toujours vers leur fin — comment penser la perte du temps. L'idée d'imagination est si décalée que l'homme s'étonnait de l'avoir conçue... Qu'en pensez-vous ?...... Dès que quelque chose est formulé il faut admettre la discussion. Le choix est entre un nombre interminable de possibilités. L’âme humaine n'est pas faite de telle sorte qu'elle n'agisse jamais sous l'influence d'une pure idée et que toute idée donnée doive pour être active revêtir la forme d'un sentiment. Il n'y a pas d'unité dans une vie humaine. Comme son système l'y contraint. L'homme propose la fortune dispose... Poids des quantificateurs... Une vitre sépare. Les imaginations puissantes peuvent être dangereuses — la pensée du suicide est une forte consolation. à chaque jour suffit sa peine... Pour survivre tout homme défend ses propres secrets ; obéit sans le savoir à un préjugé ou à une habitude dus à son éducation et aux traditions héréditaires.

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