Rokh, Wyvern, Mokélé-mbèmbé, Garache, Nâga,

On confond souvent le Rokh et l'Alkonost ; pourtant le Rokh est un pigeon-loup améthyste aimant les régions où le ciel écrase l'espace. Le Rokh a la taille d'une mouche, le Rokh a neuf pattes très courtes mais très fortes, ses dents sont gigantesques. Quand le Rokh est isolé, il peut chanter avec une voix plaisante. Il ne sort que quand le soleil domine le paysage, il semble que son existence ne soit pas longue. Lorsque des fées enlèvent un nouveau-né, elles le remplacent parfois par un Rokh, son imprécation est celle d'un crocodile furieux. C'est à Richard Lovelace que l'on doit la première description (en 1813) de ce monstre. Toutes les espèces sont utiles à la disparition de l'espace.

Cousin de la wouivre qui demeure sur les montagnes, le Wyvern, hippopotame à queue de hibou agit dans les villes comme North Richard Hill où le spectacle est plaisant. Personne ne connaît sa durée de vie. On ne devrait pas tant penser à ce qu'on connaît qu'à ce qu'on est. Les premières sources connues concernant cet animal absurde légendaire figurent dans " Homilia de Sacrilegiis " écrite par Eduardo Marga. Un corps couvert d'une peau chaudron, armée d'aiguillles étain oxydé à la piqure mortelle ; vit sur les sommets des hautes montagnes de l'Italie dominant la campagne ; les Wyverns vivent en troupes ; le Wyvern est attiré par l'effluve de la viande ; ses pattes rouge-violet ont neuf articulations ce qui rend ce monstre très mobile ; pourtant cette bête épouvantable est capable de parler intelligemment; le Wyvern ne s'accouple qu'avec des étourneaux couleur passe-velours. Sa salive dissout les chairs. Le Wyvern semble être une erreur de la nature pourtant toutes les espèces sont utiles au maintien de la vie.

Quand la neige ne laisse percevoir que quelques rares silhouettes, apparaît le Mokèlé-mbèmbé ou autruche à tête de lézard qui aime les villes comme Alice où les cimetières de campagne nordique là où les souvenirs flottent à l'extérieur de l'univers. Le Mokèlé-mbèmbé semble être comme une variété de Tanuki. Rien ne peut justifier le fait qu'il existe. C'est au Laos qu'on trouve le plus de Mokèlé-mbèmbés. Le Mokèlé-mbèmbé a la taille d'une mouche ; s'abrite s'ouvrent des fossés profonds et humides ; les Mokèlé-mbèmbés vivent en troupes ; le Mokèlé-mbèmbé est attiré par l'odeur de la viande ; ses membres sont inertes ; quand le Mokèlé-mbèmbé est seul, il peut chanter avec une voix agréable ; personne ne sait si le Mokèlé-mbèmbé se reproduit. Le Mokèlé-mbèmbé émet des gaz qui empoisonnent ses adversaires. Le Mokèlé-mbèmbé semble être une erreur de la nature mais, devant ses mystères, laissons chacun juger.

On l'aperçoit parfois près des ruisseaux où le ciel est bleu. Un corps sphérique couvert d'un pelage gris, armé de dards pervenche à la piqure mortelle, ses pattes au nombre de treize sont des pattes de pou géant, sa tête est une tête de pigeon tombant à terre. Quand une bergeronnette commence à devenir trop vieille, elle pond un oeuf fait d'un tas d'humeurs et de cet oeuf naît le Garache. Trouve sa nourriture là où la neige n'a pas encore été déblayée.... On trouve, dès 1425, sa description scientifique dans un livre de Johannes Brahms. Il faut être capable de regarder le monde sans préjugés. Son cri est celui d'un hippopotame furieux. Certaines choses fonctionnent, d'autres non.

Il y a des lois de la gravité et d'autres lois … voici le pou monstrueux malachite : cet animal surprenant aime le bruit des battements de mains. Les vents de l'ouest les font voler. Ne mange que de l'or ou de l'argent... Son corps est couvert de plumes rouge turc douces comme du tussor, ses griffes sont monumentales, la tête du Nâga est celle d'un tigre à oreilles de grive et faciès de vieil homme, son corps se termine par dix-neuf cerques sensibles qui le préviennent du danger. Ce Nâga couve des oeufs à la manière des poules. Il est très difficile de savoir à quoi peut servir un être comme lui.