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Écrits de Marc Hodges
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27 mars 2014

les quatre derniers incidents

Aujourd’hui, je veux vous satisfaire : vous êtes mon audimat et j’ai besoin de vous… Aussi, voici ce que vous me réclamez avec insistance, une part probable de la vérité de Zita et de Stanislas dont, jusque là, je n’avais rien dit…
 
Zita a besoin de cette sensualité perçante qui peut être horrible : un homme avec une toison en croix sur sa poitrine, un homme aux muscles d'acier — rien n'existe qui ne peut être dit avec les doigts, les lèvres, le sexe et l'odeur des corps. Elle le pétrit en haut des cuisses; Stanislas bande sans fin — sa langue est toute entière dans sa bouche, elle s'agite dans son sommeil, rêve de la chaude douceur de sa peau : Zita sent l'homme qui la remplit profondément; elle le lape, le reprend, ne rêve qu'à ce membre dur qui bouge en elle ! Du fond de son être monte une fièvre sauvage. Elle prend son plaisir - touche son ventre et il est plein, gonflé, frissonne de peur et de joie ! Elle dérive dans un monde de sensations, donne ses lèvres et sa vulve mouillée, celui-là ou un autre; Zita ferme les yeux pour mieux le sentir; éprouve dans son ventre un besoin fort, une excitation vive, elle n'est plus qu'un sexe ! Son sexe s'ouvre ! Zita est heureuse de sentir la force de son désir... Stanislas fouille sa bouche d'une langue experte, sa queue bat à coups irréguliers; il noue ses jambes autour de sa taille ! Zita est chaude entre les cuisses — soupire dans son sommeil : Stanislas lui donne ce bonheur du corps qu'elle préfère à tous; Zita s'échauffe, et son amant avec elle, d'un vocabulaire ignoble - Stanislas la broie et la brise. Elle aime... Son corps est un instrument avec sa musique de sexe son timbre d'odeurs fortes, Stanislas l'empoigne par les hanches pour la guider, remonte ses jambes ! Le désir la laisse avec un tremblement dans tout le corps comme un fil qui vibre. Elle sent l'homme qui la remplit profondément ! Elle aime ça, coule dans l'amour; elle pousse des reins. Zita s'abandonne toute entière au désir et à la volupté — elle le pétrit en haut des cuisses; Stanislas continue à bouger sur le même rythme violent... Stanislas bande sans arrêt. Zita sent le souffle de Stanislas contre ses cheveux : elle donne ses lèvres et sa con inondé; son sang se met à danser ! Elle lui mord les lèvres jusqu’au sang, Stanislas l'inonde d'amour ; Zita peut vaincre et s'emparer de la passion et la diriger au gré de sa volonté : l'amour est comme une danse… Zita aime se sentir envahie — elle est pleine de l'odeur forte de l'homme : elle ferme les yeux pour mieux le sentir, écouter sa bite qui glisse en elle puis se retire… les muscles solides de l'homme donnent à ses mouvements une force qui éveille le désir le plus écumant. Zita respire profondément l'odeur chaude, végétale, du sexe de son amant, elle prend son pied pour la deuxième fois — elle a conscience de son désir de l'homme : son corps est un champ électrique. Ses doigts pétrissent sa chair... Zita le bat les poings fermés pendant qu'il prend son plaisir ! Ses cuisses s'entrouvrent... Elle s'agite dans son sommeil; la sensualité lamine son corps et le noie dans l'extase : elle donne ses lèvres; Zita aime la sensation que procure cette machine chaude, Stanislas l'excite comme une bête : Zita rêve de la chaude odeur de sa chevelure — elle touche son ventre, son sexe, et il est plein, gonflé...
 
Je ne recommencerai plus… A moins que vous n’y teniez…   

Il faut avant de vous laisser aujourd’hui vous rapporter les quatre derniers incidents, ce qui fait beaucoup en un jour :
 
Le premier est le suivant : j’ai reçu hier un mail de quelqu’un prétendant être Sylvère Seigneuret et me menaçant de poursuites en diffamation. Je suis persuadé qu’il s’agit d’un faux, d’un pseudonyme ou d’un lecteur facétieux… Quoi qu’il en soit, je vous affirme que, si par mégarde j’ai blessé quelqu’un — le récit marche parfois sur le gazon de la réalité —, il n’y a dans cet écrit ni intention malveillante, ni utilisation des noms de mes lecteurs. Je me permettrai de reprendre la formule figurant au générique de certains films : tout rapport à une réalité autre que celle de Stanislas ne peut être que coïncidences.
 
Le deuxième, le mail suivant que certains d’entre vous disent avoir reçu :
 
« Date: Tue, 26 Jun 2001 13:08:53 +0100
Jean-Pierre Balpe a écrit :
Jean-Pierre Balpe est dans l'incapacité actuelle de vous répondre. Désolé, à bientôt
JP Balpe
 
Le troisième un message pour moi incompréhensible sans adresse :
 
« Hier, vers 15 heures je vous ai fait parvenir le même mail. Vous m'avez aussitôt répondu. je n'ai pas tout compris, le texte étant en anglais, et peut-être, ai-je fait une mauvaise manipulation, je ne retrouve plus trace de votre réponse. Merci de bien vouloir m'indiquer la marche à suivre. Votre article paru sur LIRE de Juin 2001 m'intéresse, et je voudrais connaître le "mail roman". A plus tard sur le WEB. »
 
Le quatrième :
 
Date: Tue, 26 Jun 2001 14:42:07 +0200
This message was transferred with a trial version of CommuniGate(tm) Pro* Madame, Monsieur, étant allemande, votre proposition du mail roman m'intéresse beaucoup. Avant de m'abonner j'aimerais bien savoir la durée approximative du roman et la marche à suivre en cas d'annulation.
Sincères salutations Heike Brückmann »
 
Y comprenez-vous quelque chose ?

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