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Écrits de Marc Hodges
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18 juin 2013

Wilfrid fait des rêves érotiques

Bien que Wilfrid s’en défende, La Beude lui manque, ainsi il rêve souvent qu'il lui fait l'amour... Elle soupire dans son sommeil, il la caresse, La Beude émerge de la profondeur de son sommeil, Leur étreinte est pleine, passionnée, désormais La Beude peut jouir... Même si elle a les seins qui tombent. Wilfrid est un homme avec des jambes courtes maigres, mais vigoureuses et musclées, un homme aux muscles d'acier. La Beude apprécie une certaine violence et elle est active : Wilfrid la tient ferme. La Beude dévore ce membre, cette barre de chair qui la fait jouir, elle donne ses lèvres, la sensualité écrase son corps et l'engloutit dans l'extase : elle l'aspire consciencieusement. La Beude le chevauche, de nouveaux frissons s'éveillent en elle, elle aime se sentir brisée, se rend compte qu'elle ne peut rien faire contre cette force, cette volonté : à la minute même où Wilfrid la touche elle commence à jouir. Wilfrid soupèse ses seins, Wilfrid mêle ses gémissements aux siens, son corps est un dédale d'émotions et de réponses où elle s'égare. La Beude a envie que d'autres hommes glissent leur verge entre ses cuisses ; les caresses la rendent de plus en plus ivre, elle sent la bite se dresser contre elle, elle lui caresse l'intérieur des cuisses, la chatte ouverte appelle la verge comme un aimant… Wilfrid vide tout son être en elle. La Beude ne veut rien que du sexe; pendant un instant Wilfrid est immobile en elle turgide et palpitant, elle sent le souffle de Wilfrid contre ses cheveux, Wilfrid noue ses jambes autour de sa taille - La Beude sent Wilfrid sur elle, son cœur bat avec une telle violence qu'elle peut à peine respirer, La Beude le griffe et le mord, Sa bouche dévore tout son corps, La Beude ne rêve qu'à ce membre dur qui bouge en elle, elle recherche les caresses de l'homme qui la fait crier, La Beude aspire l'homme en elle. Wilfrid ne veut rien d'autre que du sexe. Wilfrid à la minute même où La Beude le touche commence à jouir; La Beude garde la mémoire de tous ceux qui l'ont possédée, qui se sont enfoncés en elle, elle donne ses lèvres; Wilfrid mêle ses gémissements aux siens. C'est comme si elle était pénétrée par des dizaines de tentacules, comme si son corps était parasité par un corps autre, plus voluptueux, un homme avec un ventre souple et grassouillet; elle aime ça, leurs étreintes sont longues, impétueuses; Wilfrid se pénètre de l'odeur de la femme. La Beude dévore ce pénis, cette barre de chair qui la fait jouir. Elle est sexe et bouche, La Beude n'en a jamais fini avec l'amour. Sa main droite glisse jusqu’au pubis et le caresse avec fièvre ; Wilfrid la chevauche longuement presque brutalement; elle est sauvagement, passionnément active, obsédée par le souvenir de toutes ces mains d'hommes sur son corps, Wilfrid lui mordille les seins. La Beude le griffe et le mord: "Nunca he venido tan fuerte..." Son sexe est plein de celui de l'homme... Poitrine et seins ruisselants, La Beude donne de violents coups de reins, les caresses la rendent de plus en plus ivre. Wilfrid malaxe ses seins, sa verge bat à coups irréguliers. La Beude touche son ventre et il est plein, gonflé. La Beude est délirante. Ses jambes tremblent... Wilfrid ne veut rien d'autre que du sexe. La Beude rêve de la chaude odeur de sa chevelure : sa langue est toute entière dans sa bouche. Wilfrid l'excite comme une bête. Poitrine et seins ruisselants, La Beude sent la montée de son désir à celle de l'humidité entre ses cuisses, elle rêve d’une chaude odeur de chevelure. Wilfrid danse en elle; La Beude ne résiste pas, son esprit galope fiévreusement tandis que Wilfrid respire le parfum excitant de sa peau. La Beude ne veut rien d'autre que du sexe, son désir ne meurt pas avec l'orgasme, La Beude s'arque... Elle a le désir de mordre dans ce grand corps voluptueux, Wilfrid l'épuise, elle aime la sensation que procure cette machine chaude qui bat son corps, Wilfrid la broie. Du fond de son être monte une fièvre sauvage; elle donne ses lèvres le griffe. Wilfrid envahit tout son être par tous ses pores ; quand la flamme sensuelle passe par son ventre, il croit réellement mourir. Wilfrid mêle ses gémissements aux siens... La Beude respire profondément l'odeur chaude, végétale, du sexe de son amant, elle a envie de fondre dans sa bouche sensuelle... Il y a longtemps qu’il n'a pas éprouvé un désir aussi résistant et brutal, il s’éveille le ventre gluant de sperme.

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