Offres de Charlus

I - 59 me

me blessait et me faisait mal me bouscule presque pour repousser le téléphone du côté du bureau me brûlait les yeux me caresse me contentant de sourire me contentant juste de haleter me croiront-ils me croyant inébranlable dans le dessein de la forcer à ne pas rejeter les offres du comte Charlus et pour lui déclarer me défend de vous recevoir me défier de ces axiomes généraux si exempts de toute restriction me demanda les causes de mon séjour en Pologne me demande me dépasse et va se placer juste à l’endroit où j’étais me déplaçant uniquement dans l’ombre me déprimaient me détachait successivement de tous les objets qui tour à tour attiraient ma curiosité me dévisage avec curiosité me dévoilant une nuque déjà sérieusement attaquée par le mal me dévoraient intérieurement me dire que l'époque de l'activité n'était pas encore passée me dirige vers le fond de la cuisine me dis pas le contraire me dis-je me disais-je me disais-je me disait-elle me disait-il me dit enfin le comte me dit Germaine me dit M me dit-elle me dit-elle me dit-elle après l'avoir lue me dit-elle enfin me dit-il me dominait exclusivement me donna des conseils affectueux me donnait en quelque sorte me doucher me faire entrer dans le département dont la direction lui était confiée me fais pas chier me faisaient passer dans la pièce suivante me firent sentir leur désapprobation par des insinuations détournées me frôle me frotte la main sur le couvre-lit me jetaient des regards indifférents sans s’arrêter me jeter dans la gueule du loup me lâchent chacune un petit sourire me laissent le champ libre me laisser me morfondre me lance me lance un gentil sourire me lancer des clins d’œil complices me laver les mains me les décrit avec truculence me parle me parle de ses clients me penche en avant pour la voir me plante devant le zinc et dis au patron me prend à témoin me prends pas pour un con me prit par la main et me conduisit vers Germaine me proclamant le plus heureux des hommes me questionna sur mes projets me ramenaient dans la pièce précédente où ils finissaient par prendre la même expression d’impuissance désolée que les autres médecins me recevoir comme autrefois me recevoir demain chez vous à onze heures me redresse me redresse et scrute les alentours me regarde me regarde me regarde dans les yeux avec un air outré me regarde jouer avec son œuvre me renifler me répandre de manière naturelle me reparla de Germaine me répétant intérieurement ce que je dois toujours dire me répondit-elle me répondit-elle me répondit-elle me répondit-elle me répondit-il me reposer un moment me reprends pour ne pas m’allonger me retourne et lance au lit vide me retourne et reviens sur mes pas me revoilà seul me rhabille comme d’habitude me semblaient un reproche insupportable: je croyais entendre admirer les bras vigoureux d'un athlète chargé de fers au fond d'un cachot me sentant peu concerné par le sujet me servirent à me créer l'idéal d'une compagne me soulève aussi haut que sa taille le lui permet me sourit un instant sans rien dire me tape sur l’épaule me tend une main que je serre sans conviction en regardant autour de nous me tend une main tiède et molle que je serre avec dégoût me tendant le test avec un visage repeint au bonheur me tenir à l'écart et de déguiser mon trouble me tire me tire la langue en riant me tourne autour me traversaient me voici à présent dans un hall gigantesque me voici à présent devant les appareils de musique que je stocke dans la chambre me voilà à nouveau seul me voilà contre la maison me voilà dans le bar me voilà dehors me voilà neutralisé me voilà paré me voilà prisonnier à vie me voilà seul me voit la