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Écrits de Marc Hodges
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17 juillet 2012

Tergiversations

I - 57 mais

mais à condition qu'elle quitterait l'homme ingrat et perfide qui les avait séparés mais à mesure que je m'approchais de sa demeure mais à peine étions-nous en présence l'un de l'autre qu'il y avait en lui quelque chose de contraint que je ne pouvais m'expliquer mais à peine eus-je tracé quelques lignes mais à peine me retrouvais-je auprès d'elle mais alors même mais alors pas du tout mais après mais attrayantes mais au désespoir du nouveau sacrifice que me faisait Germaine mais aucune confiance n'avait jamais existé entre nous mais ayant toujours fini par la dureté mais bientôt ce nouveau genre de vie devint pour moi la source d'une nouvelle perplexité mais c'en est un bien grand d'être aimé avec passion quand on n'aime plus mais c'est votre faute mais c'était agiter des cendres que rien ne pouvait réchauffer mais ça se pourrait bien mais ce n'est plus pour vous en entretenir que je vous ai priée de m'entendre mais ce qu'on ne dit pas n'en existe pas moins mais ce sont des nuances que l'opinion n'approfondit pas mais cependant les intérêts de la vie commune ne se laissent pas plier arbitrairement à tous nos désirs mais ces émotions et ce langage ressemblaient à ces feuilles pâles et décolorées qui mais chaque mot qu'elle disait me semblait revêtu d'une grâce inexplicable mais comme elle peut avoir ses inconvénients mais considérez mais d'après l'effet qu'elles ne pouvaient manquer de produire mais d’un autre sentiment mais dans ses yeux se peignait un effroi vague mais de là à mettre un nom sur ces suppositions mais de quoi mais de quoi vous parlez mais déjà je n'aurais pu me résigner à ne pas lui plaire mais dont l'époque était prochaine mais du reste mais elle avait été blessée mais elle démêla bientôt des contradictions dans mon récit mais elle est là mais elle était poursuivie d'un sentiment secret d'embarras et d'inquiétude mais elle fixait sur moi ses yeux en silence mais elle me déclara positivement qu'elle n'irait en Pologne que si je l'accompagnais mais elle me fit promettre que mais elle n'était jamais seule mais elle n'était plus un but mais elle ne vit dans mes promesses mais elle paraissait en chercher un qu'elle ne trouvait point mais elle persistait dans sa résolution mais elle pleurait si amèrement mais elle retombait bientôt dans la distraction mais elle savait que mon jugement les démentait mais en lisant le consentement qu'il m'accordait mais enfin mais enfin vous l'avez accepté mais eux c’est pas pareil mais faut qu’on soit sûrs mais fort heureusement mais Germaine n’est pas morte de manière naturelle mais il devra répondre de ses actes mais il n'y avait pas uniquement de la vanité mais il n'y avait point de périls mais il ne vous convient pas mais il résultait de son abandon complet avec moi qu'elle ne me déguisait aucun de ses mouvements mais il s'introduisit dans leur ton quelque chose d'une familiarité qui annonçait qu'elle n'était plus appuyée par un protecteur puissant mais il y a des femmes que l'on ne voit que chez elles mais il y avait un fond d'amertume mais ils m'accusaient d'indélicatesse mais j'ai trop souffert mais j'ajoutai que l'amour n'entrait pour rien dans les devoirs que je m'imposais mais j'aurais voulu qu'elle me permît d'y renoncer plus librement mais j'avais pris en horreur l'empire des femmes mais j'avais repris ma vie habituelle mais j’ai besoin de toi mais j’aimerais quand même bien avoir votre avis mais je crois que j’en avais marre de voir ta gueule de victime éplorée mais je dois vous voir s'il faut que je vive mais je fis effort sur moi-même mais je l’ai réellement fait mais je la connais depuis trois ans mais je la désirais avec tant d'ardeur mais je le publierai comme une histoire assez vraie de la misère du cœur humain mais je le reconnais mais je lui parlai de l'amitié du baron pour mon père mais je mange mais je me dois aussi de vous déclarer que vous ne m'avez point ébranlé mais je me reprochais intérieurement de ne pas défendre Germaine mais je n'avais jamais éprouvé de contraction si violente mais je n'en étais pas plus heureux mais je n'étais pas le maître de la forcer à souffrir mais je n'étais qu'un homme faible mais je ne la connais pas mais je ne parvenais pas toujours à l'apaiser mais je ne pouvais déjà plus lui confier mes pensées mais je peux encore mais je préfère estimer le danger à sa juste valeur mais je préférerais qu’ils soient de moi mais je puis au moins me rendre ici ce solennel témoignage mais je repoussais ces impressions comme de mauvais rêves mais je suis un peu crevé mais je vous conjure mais je vous conjure de ne pas partir encore mais l'amour

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