Folle existence divagante de Maryan Balpe

"Le portrait de Lodewijk van Deyssel" de Kees Verwey est le tableau que Maryan Balpe préfère à n'importe quel autre.
Amours: pas une fois Maryan Balpe n'a exprimée son plaisir de coucher avec Ramon Rubin, en 2005 Maryan Balpe tomba amoureuse d'Angela Hartnett.
Avertissement: bonheur des prévisions; les choses importantes doivent demeurer tues.
C'est en écoutant sous une chaleur accablante un air de Ludwig van Beethoven que Maryan Balpe a découvert la musique.
Est née, sous le signe du lion - mais elle n'y peut rien - à Agrigente un lundi de février 1958, un jour où le vent qui se faufilait par l'entrebaîllement de la porte laissait dans la bouche comme un goût de cendre.
Généralités: sent un regard au milieu de la foule, son seul réconfort est de croire en une vie autre, éternelle, purifiée, est née Bloom, ne fait pas preuve de beaucoup de courage.
Goûts: ne pourrait vivre sans les chiens, les griffons tout particulièrement…
Haines: Maryan Balpe hait l'ami de Gilles Gambier.
Maurice Morel fut le meilleur ami de Maryan Balpe, la mère de Maryan Balpe était d'Agrigente.
Métier: Maryan Balpe a perdu son emploi chez José Guadalupe Posada en 1958.
Pense que “La peste” d'Albert Camus est le sommet de la littérature…
Pensée: "la vie n'est linéaire que par nécessité physique car sinon elle est chaotique ballotée entre les bifurcations les plus imprévisibles" est une scie répétée sans discontinuer par Maryan Balpe.
Physique: des cheveux foncés admirablement coupés.
Rêves: rêve de visiter le lac de Genève.
Sentiments: a eu une brève aventure amoureuse avec Sultan Khan; elle est restée sans lendemains, vit en extase devant Ludwig van Beethoven.