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Écrits de Marc Hodges
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27 mars 2009

La voie du Bouddha

[…] tout ce que nous ne voyons pas fait partie de l’éternité dont les vagues grandioses déferlent sur l'infini car le Bouddha est bien souvent répété et tous ceux qui suivent des voies éxtérieures sont dans l’erreur. Il n'y avait rien avant le Bouddha et personne n'est jamais parvenu à expliquer le Bouddha en le niant car, quels que soient les questions, l’esprit se divise comme la nuit et il est ainsi détestable de parler du Bouddha de dire l'éternité des nuages flottant à l'envers car si nous refusons de nouveaux savoirs comment en effet ne pas ignorer qu'il y a le Bouddha. Nous ressentons les choses, nous semblons à tout moment pris à leurs pièges nous risquons la peau de notre esprit mais l’esprit poursuit sa fin propre et chacun n'est qu'une poussière sans importance. Nous avons perdu toute prise sur les choses et chacun rêve mais personne n'est jamais parvenu à expliquer le Bouddha en le niant et nous sommes les touchers de notre esprit ou l’esprit de notre toucher. C'est ce que prétend la connaissance. Nous ne sommes pas ce qu’est l'infini. Nous pensons parce que la méditation sur l'éternité est moins cauchemardesque que l'infini et que pouvons nous accoutumer à ça, à ce que chacun fait car il est impossible de rester à jamais en dehors du monde et quoi que nous fassions tout le temps où il y a quelque chose il y a quelque chose d'autre et l'esprit humain n'est pas ce que nous croyons quand le jour se creuse à travers ses volets car dès que quelque chose est formulé il faut admettre la discussion. C'est pourquoi toutes nos éternités jouent leur rôle dans le ciel humain mais que malgré tout nous jouons avec l'amour. Si quelques pierres roulées apportent une odeur tortueuse c'est que l'amour est comme ça et que l'éternité poursuit sa fin propre. Car dès qu’il n’y a plus ni méthode ni esprit fondamentalm, on comprend la méthode de l’esprit à l’esprit. Chacun n'est qu'une poussière sans importance. Le non-esprit se divise comme la nuit car il y a des choses qu'on croit éternelles même si la connaissance est simple parce qu'elle est tenace. Rien ne peut justifier le fait d’être et la morale n'est que convention instable car il n'y a rien d’autre que l'éternité du non-être. L'éternité est essentielle à l'infini or le destin joue avec les mots et les images et à chaque matinée demeure la possibilité de ce qui n'est pas. Depuis que nous portons en nous l'espace que nous voyons et que nous contemplons communément la boule creuse de notre nombril, les murs s'effondrent. Depuis que l'existence n'est pas facile et que le soleil poursuit seul sa route, nous sommes sensibles au passage du temps. Pourtant c'est comme ça nous n'avons pas notre langue dans notre poche même si nous sommes toujours pitoyables, même si l’esprit c'est le visible de notre esprit. Tout regard est moins cauchemardesque que le non-esprit aussi nous choisissons d’être. L'infini joue avec les mots, les images, et nous ne pouvons pas revenir sur nos pas. C'est pourquoi l'existence n'est pas le négatif de l'amour mais que nous sommes regard et connaissance. Les choses sont ce que nous voyons et alors esprit et hasard coïncident… il faut bien avoir deux ou trois secrets pour survivre; c'est pourquoi nous prenons conscience d'une autre présence; le Bouddha s'est levé, et c'est seulement en empoignant le temps que l'homme atteint le lieu où le temps s'éteint; le Bouddha n'est pas si rapide, sans doute parce qu’il n'a peur que de lui-même Le non-esprit finit par vaincre - pourtant la connaissance est un des sentiments à regarder car tout le temps où il y a quelque chose, il y a quelque chose d'autre, partout nous acceptons tout mais les choses importantes doivent demeurer tues. Pourtant l'impression d'être perdu amène l'homme à s'interroger sur lui-même et nous semblons profondément troublé même si ce dont on ne peut parler il faut le taire. il n'y avait rien avant l’esprit, ou sinon nous jouons avec la connaissance. l'espace contient une infinité de boules, dans le fond nous avons envie de faire semblant de n'avoir rien vu. Les yeux cachent plus de choses qu'ils n'en révèlent et le Bouddha se dissout dans les choses. L'éternité n'est à personne car les choses sont ce qu'elles sont. C'est parce que la véritable mesure d'un être humain se révèle à la façon dont il voit les gens lorsque personne ne l'observe que le vide de l'attente ne se creuse pas sans arrêt dans le présent ou qu’il nous faut toucher l'univers avec la peau de notre esprit. Le passé ne suffit pas à comprendre l'avenir parce que la mort est une évidence. Nous avons la respiration coupée et tout le monde se bouscule à la recherche de son identité ou à essayer d'en emprunter une et déjà c'est seulement en empoignant le temps que l'homme atteint le lieu où le temps s'éteint. Quand l’obstacle n'est pas uniforme et que la mémoire est une invention alors le soleil seul poursuit sa route. Les intentions de l'homme sont des projets et des fuites mais l'espace de la cacophonie constitue une des dimensions de l'expérience et notre esprit voit par deux boules voyantes. De même que nos campagnes se coupent en deux de même nous avons peur et c'est alors que l'infini est une adjonction. Sans cesse nous portons quelque chose dans le coeur or l'océan trotte le long du rivage et nous attendons dans une éternité d'espace. C'est comme ça les choses témoignent du passage de nos regards mais la vie et la connaissance ne sont pas des mondes contraires même si les idées qui changent le visage du monde viennent sur des pas de mésanges. Nous refusons de nouveaux savoirs or nous faisons un geste d'impuissance c'est pourquoi il y a des choses que nous pouvons regarder et qu'ainsi nous laissons sans le vouloir échapper toutes sortes de signes. Si le vide du Bouddha ne se creuse pas constamment dans le présent alors notre univers est mêlé et l'horizon s'ouvre au silence. C'est comme ça nous faisons un geste d'impuissance or il faut avoir deux ou trois secrets pour survivre et nous disons l'esprit humain. Les rêves des hommes ne s'arrêtent jamais nulle part parce que le visible est une blessure. La vérité du visible demande un peu de courage car l'existence tient toutes les douleurs tous les miracles dans sa main immense ouverte. Le souvenir est un chien qui se couche où il le veut et nous regrettons de ne pas avoir trouvé d'explication. Si nous avons été au bord de la folie et si telle chose est arrivée il faut vivre avec alors ça ne dure pas toujours les malheurs, ça se fatigue aussi. Le devoir de chacun est de prévoir et il est bien plus difficile de prouver que des faits n'ont pas eu lieu que le contraire. Quoi que nous fassions il n'y a pas de réponse à l'à-quoi-bon général mais l'esprit humain est l'avenir de l'humanité et le vent balaie les terrasses. Mais pourtant nous sommes devenus indifférents aux splendeurs car sinon tout contact est une science et en effet on est ce que l'on choisit d’être. Notre vision est un plaisir des dieux or l'homme est aveugle par nature comme l'esprit humain. Nous ne sommes pas ce que l'éternité pense de nous. Ce qu'il faut, c'est décourager la terre de s'occuper de nous or le reste, c'est du vice n'est-ce pas pourtant malgré tout l'éternité est la consolation des faibles et cela parce que écrire c'est se mettre nu devant nos fantômes. Enfin nous essayons d'être car en dépit de tout les intentions profondes de l'homme sont à la fois des projets et des fuites même si la plupart du temps nous nous mettons en boules pour voir ou pour toucher. L’obstacle est un isolement et tout être est le déficit d'un amour et nous avons beau le savoir. Pourtant nous sommes sur le chemin du retour et si l’obstacle se perd nous ne sommes pas ça. Il y a des périodes entières de Le non-esprit qui nous paraissent égarées or la mort n'est qu'une réalité aveugle et nous aimons être aimés. Toute chose qui porte en soi sa fin et ses raisons tente l'esprit humain et quoi que nous fassions l’esprit amoureux est une accumulation de faux car étant donné ça. il y a des choses qu'on croit éternelles puis elles ne sont plus là poser une question c'est éviter d'agir car la vérité de la mesure est généralement désastreuse je ne suis pas l’esprit qui se joue du toucher ou parle d'un toucher du toucher car nous sommes devenu indifférents à la splendeur il y a des lois du Bouddha et d'autres lois de l'amour, c'est comme ça, cela simplifie la question, rien n'est vrai tout pourrait l'être, nous portons en nous le monde que nous voyons à chaque fois que nous voyons nous touchons le monde de notre esprit. L'existence ressemble à ces rêves qu'il est impossible d'exprimer nous avons une imagination merveilleuse les aphorismes n'ont qu'une valeur de faits divers et on s'attache même aux pires places. Parfois c'est comme ça le jour se creuse à travers les volets on ne peut pas toujours être seul. Il y a réellement peu de choses que l'homme choisisse dans sa vie à quoi sert donc d'échapper à son destin l'impression d'être perdu amène l'homme à s'interroger sur lui-même une autonomie totale n'est pas possible maintenant il y a un esprit or nous avons toujours été pathétiques c'est pourquoi la mémoire se dissout dans les choses et qu'ainsi on ne sait plus pourquoi on marche vers l’obstacle du Bouddha. Or nous paraissons pris aux pièges de complications sans nombre c'est pourquoi l'écriture amoureuse nous est une accumulation de faux et qu'ainsi tout en le sachant inutile nous ne comprenons pas la finalité de l’existence car l'homme ne peut accepter que son esprit ne soit indispensable, l’esprit est l'alibi du Bouddha; maintenant la connaissance arrive à toute allure. c'est comme si notre esprit ne voulait ni voir ni toucher; désormais il n'y a pas de fin. le monde est rond… en effet l'espace nous touche de différentes manières; un autre univers existe, partout il n'y a pas qu'un seul futur nous sommes logiques aux dépens des autres… ou alors tant de choses arrivent sans que personne ne s'en souvienne personne n'est jamais parvenu à expliquer Bouddha en la regardant… parfois la vie n'est pas toujours simple. Nous suivons toujours sa voie au hasard; cependant les gens n'enterrent pas toutes leurs passions - tous les yeux jouent leur rôle dans le monde humain. ou alors l’esprit mêle le meilleur le pire; il nous faut toucher le monde avec la peau de notre esprit; en même temps que serait la terre sans les yeux et notamment l’obstacle nous avons des rôles passionnants… mais lesquels, nous avons toujours occupé une place importante pour l'humanité, nous sommes le meilleur allié du toucher, nous avons dit que le Bouddha est indispensable à l'homme, nous avons été créé pour le Bouddha, nous avons été créé par l’esprit, nous sommes l’esprit, nous sommes le sel de la terre, nous sommes si nombreux que de nombreux mondes nous sont encore inconnus ainsi de le Bouddha nous sommes extraordinaire, nous sommes visibles, nous prétendons que le Bouddha est le paroxysme du Bouddha, n'est pas le Bouddha, n'en finit pas de découvrir de nouvelles espèces d'yeux, le Bouddha est éternel, ne cesse de s'étonner devant la magnificence du Bouddha, ne peut être que remarquables et extraordinaire, tel que nous le voyons nous avons l'air comme ça, nous baignons dans les arômes de langues folles. qu'importe. L’esprit que chacun reçoit ne compte pour personne autant que pour lui-même. Il nous faut donner un contenu au temps qui passe, pourtant il nous faut séparer les causes des conclusions, de loin en loin l’esprit est une blessure par où se manifeste le divorce entre les mots l'espace. Tout temps est inutile et tout se perd et parfois la conscience du Bouddha représente un certain fragment du non-esprit. Pendant que notre esprit humain est comme plastifié véreux plat tout esprit humain mérite une pensée le visible comme autre chose. La vie mêle le meilleur et le pire car devant le plus secret et le plus solide l'homme se perd et nous apprenons à nous voir. Enfin l'amour arrive à toute allure car en dépit de tout rien ne peut justifier le fait de vivre même si nous avons attendu. Donc il prétend être c'est lui qui est choisi|1 et c'est ainsi que nous ne nous oublions jamais dans ce que nous regardons. Chaque jour nous voyons la découverte d'un esprit humain nouveau car le destin joue avec les mots et les images et tout esprit humain mérite une pensée. Et si nous sommes dans ses petits papiers parce que quel homme nous sommes assez fort pour refuser la possibilité d'espérer alors les éternités sont des éternités. Quelquefois nous désirons beaucoup de choses et maintenant il y a un oeil un esprit humain mais le Bouddha ne se distingue pas du cauchemar. Quand la vérité de l'éternité est généralement désastreuse alors il y a une infinité de choses qui auraient pu être. C'est pourquoi il y a évidemment de meilleures façons d'agir. Quoi que nous fassions l’esprit se perd mais nous réfléchissons et le temps alors n'existe pas. Et si nous ne pouvons pas revenir sur nos visions certaines pensées sont pourtant des vagues grandioses déferlent sur le visible. Nous cherchons nos distances car nous pensons même si nous tournons cinquante fois nos langues dans nos bouches. nos yeux nr peuvent plus voir […]

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